Quand, où, pourquoi et comment

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Partant de ces données vous pourrez noter ici avec Duns Scotus l’Ecossais dès mes premières remarques que la sophologie de Bergson comme tirée par dessous par un besoin purement sous-jacent n’est cependant pas dénuée des valeurs caractéristiques de la monnaie courante, empruntée pour la plus grande partie finale des fluctuations de Dame Fortune, notre bonne mère à tous (qui la pluProust du temps se perd à plaisir dans notre recherché, un peu trop décrit n’est-il pas vrai, Scotus ?) et tout comme j’aurais pu vous le dire en décibels plus ramassés dans un discours pailleté de behavioristique avec un rien de vernis homoïde-icidant qui n’est opéré en réalité que par ridiculisation au hasard du Who’s Who (ooh, hoodoodoo !) et de la théorie d’Einstein sur la structure fine des petits mouvements. Mais mettons tout cela un peu plus clair pour que ce soit plus sombre. Les formes du langage ne sont qu’une cour des suppléants. Alors que la qualité et talité (j’exploserai en son temps ce qu’il faut entendre par là, quand, où, pourquoi et comment dans une sentence subséquente) sont alternativomomentanément arrogation et érogation, comme peut l’être tout point d’interrogé. p.235
Finnegans Wake
James Joyce
Editions Gallimard, Folio an 1982

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