Sourire : son fondement psychologique est complexe, insaisissable, mystérieux

lapinfluo

« La psychanalyste éteint la lampe, range des papiers, s’attarde. La voix de cette femme ne la lâche pas, la manière, surtout, dont elle a dit cela : […]. On aurait dit le début d’un conte. Alice égarée dans ce monde magique où quel que soit le bout du biscuit que l’on croque, on est toujours trop grand ou trop petit, la lapin blanc n’a pas le temps de vous répondre et le sourire du chat de Cheshire s’efface de manière inquiétante. »

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